Les services de sécurité ont écouté des douzaines d’anciens détenus impliqués dans des affaires de terrorisme. Ils ont été convoqués aux préfectures de police dans plusieurs villes du royaume et relâchés quelques heures après l’enquête.
Abderrahim El Ghazali, porte-parole du comité de défense des détenus islamistes a déclaré que l’opération de sécurité avait touché les villes de Casablanca, Mohammedia, Tétouan, Tanger, El Aroui, Taza, Fès et Meknès.
Les enquêtes ont touché les Marocains qui ont rejoint les territoires syriens. La police leur a en effet demandé s’ils étaient toujours en contact avec les combattants de Daech et s’ils connaissaient les personnes tués et ceux qui demeurent encore sur les territoires syrien et irakien après les défaites des organisations extrémistes, a rapporté le journal Al Massae dans sa livraison de ce jeudi 28 décembre.
